J'ai la fièvre..

Un crâne qui résonne, résonne, résonne... encore et encore. Sans fin. Les bruits de l'extérieur qui l'attaquent le font souffrir profondément. Il s'affaiblit doucement. Tout doucement. Comme lorsque les serpents empoisonnent leur victime, la pauvre voit lentement mais sûrement sa mort arrivée. Triste destin... Suis-je condamné à un sommeil passagé ou tiendrai-je jusqu'à la fin des deux épisodes de Kaamelott ? Ce sera difficile. Ce sera une lutte sans merci, harassante qui plus est. Mon crâne ardent utilise difficilement ses dernières forces pour tenir. Pour sûr, il ne l'avait pas vue venir cette satanée fièvre. Elle est plus que sournoise en plus de jubiler pour sa réussite. En effet, à cause d'elle, il est certain que mes révisions pour le bac blanc des sciences économiques et sociales ne peuvent être faits. << Pourtant tu écris ce texte, alors tu peux réviser. >> Certes. Néanmoins la différence entre mémoriser des informations quand on ne se sent pas bien et écrire le plus rapidement possible sur la douleur qui s'abat sur moi. il y a un pas que je ne franchirai pas. D'ailleurs, ce texte ne s'avère pas génial, génial. C'était pour "rédiger sous différentes conditions", histoire de voir ce que cela donne. Sur ce, je m'arrête ici. Je n'en peux plus malheureusement.

Fate - n'oubliez pas de tous regarder  Kaamelott ce soir.